Quand le vide contrôle tout

La peur du vide : plus qu'une simple solitude

Il y a ce vide qui fait peur, ce silence qui étouffe, ce rien qui nous effraie.

La peur du rien est souvent bien plus qu'une simple appréhension de la solitude.

Elle dicte nos choix, nos comportements, et nous pousse à rester dans des relations qui ne nous nourrissent plus, à succomber à nos addictions, juste pour éviter de faire face à ce vide.

Tu te reconnais? Reste là et lis la suite.

Les manifestations de la peur du rien

Cette peur s'infiltre partout :

  • Dans notre besoin constant d'être entouré

  • Dans nos efforts à plaire aux autres

  • Dans notre habitude à remplir nos agendas, nos placards, nos caves et nos greniers jusqu'à étouffer sous le poids du trop

  • Dans notre tendance à parler trop, à manger trop, à consommer de l'alcool ou des substances, à s'attacher trop

  • Dans notre dépendance aux réseaux sociaux, au travail, à la nourriture, à l'exercice physique

On devient dépendant des comportements ou des substances qui nous permettent de fuir ce vide.

C'est là que toutes les formes de dépendances prennent racine : dépendance affective, dépendance à l'alcool, à la drogue, au jeu, au travail, au sport.

Tout ça parce qu'on ne sait pas qui on est quand il n'y a rien ni personne pour nous distraire de nous-mêmes.

Parce que sans une activité ou une consommation pour nous occuper, c'est comme si on n'existait pas.

Tu te reconnais toujours? Continue, surtout ne t’arrête pas...

Accepter l'inacceptable pour fuir le vide

Cette peur du rien nous pousse :

  • À accepter l'inacceptable par peur de perdre l'autre ou par peur de se retrouver seul face à soi-même

  • À rester dans des comportements qui nous détruisent, juste pour éviter l'angoisse du vide

  • À combler chaque minute pour ne pas affronter le silence, par peur de découvrir qui l'on est vraiment.

Et si on ne fuyait plus ? 

Mais qu'est-ce qui se passerait si, pour une fois, on ne fuyait plus ? Si on acceptait de faire face à ce vide ?

C'est souvent dans ces moments qu'on commence à comprendre qui l'on est.

On découvre qu'il n'y a pas à avoir peur du rien, car ce rien est une page blanche, un espace à créer.

C'est dans ce rien que l'on peut apprendre à s'aimer, non pas parce que quelqu'un nous aime ou parce qu'on a réussi à éviter le vide, mais simplement parce qu'on existe.

Le vide comme tremplin vers la liberté

Et si la peur du vide devenait un tremplin vers la liberté ?

Affronter le rien, c'est se redonner la chance de vivre sans attache toxique, sans masque.

De choisir des relations, des activités par envie, non par besoin.

𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗹𝗮 𝗽𝗲𝘂𝗿 𝗱𝘂 𝗿𝗶𝗲𝗻 𝗮𝗿𝗿𝗲̂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗼̂𝗹𝗲𝗿, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗼̂𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘃𝗶𝗲.

Tu t'es senti(e) concerné(e) ?

Tu aimerais être accompagné(e) pour te libérer ?

Consulte ma page sur la dépendance affective, je t’explique.

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Comment se sentir en paix avec soi-même en quelques minutes?